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Loges de Francs-maçons à Orly
Comment entrer dans une Loge de Francs-maçons à Orly
Interviewé par Jacques Carletto | Une heure d'interview VéritéDirect du 23/09/2015. Studios de BTLV. |
Entre les deux guerres mondiales, la franc-maçonnerie française occupe une place majeure dans l'appareil politique de la République et s'implique fortement dans ses combats. Elle sera donc particulièrement touchée lorsque la République s'effondrera face aux troupes allemandes en 1940. Le régime de Vichy promulgue le 13 août 1940 une loi qui dissout les sociétés secrètes32. En octobre-novembre 1940 a lieu à Paris, au Petit Palais, une exposition anti-maçonnique intitulée : « La franc-maçonnerie dévoilée », avant qu'elle soit présentée en province et à Berlin. Le thème général affirme l'existence d'un complot de l'anti-France, qui aurait été responsable de l'effondrement du pays, et qui aurait été organisé, selon les thèses de l'Action française, par « le juif, le protestant, le maçon et le métèque ».
Un service des sociétés secrètes est organisé en 1941. Bernard Faÿ, administrateur de la Bibliothèque Nationale, est nommé à sa tête et chargé de classer les archives saisies dans les loges maçonniques, d'orchestrer la propagande anti-maçonnique et surtout de dresser des fiches afin de répertorier tous les anciens francs-maçons, de les surveiller et de les radier des professions libérales comme de la fonction publique. Ce service publie la revue « Documents maçonniques » qui voit dans la franc-maçonnerie l'une des causes principales de la défaite. Une loi de 1941 applique le « statut des juifs » aux francs-maçons. Le film anti-maçonnique « Forces occultes » est réalisé et projeté à Paris en 1943.
Copie d'une page d'un diplôme maçonnique - Page de garde de diplôme maçonnique témoignant de l'épuration, 1945.
À la Libération, un millier de francs-maçons français ont été déportés ou tués, la plupart pour leurs activités de résistance ou à cause de leurs origines juives. Les temples ont été pillés, les archives confisquées. Lorsque les loges maçonniques se relèvent, des comités d'épuration souvent spontanés se mettent en place. Au total, le nombre de francs-maçons actifs a diminué des deux tiers34. La franc-maçonnerie française mettra vingt ans à retrouver ses effectifs d'avant-guerre. Elle préfère désormais se tourner davantage vers la réflexion philosophique, voire spirituelle35 que l'action directement politique. Alors que jusqu'en 1940, les maçons défilaient au grand jour, leurs réunions étant annoncées dans la presse, ils se protègent désormais dans la discrétion.
La condamnation communiste de la franc-maçonnerie diminue considérablement en France à partir de 1945, principalement en raison de la Fraterniténée pendant la Résistance entre gaullistes, communistes et francs-maçons face à leur ennemi commun : le régime de Vichy. En 1945, les franc-maçonnes des loges maçonniques d'adoption de la Grande loge maçonnique de France se constituent en une « Union maçonnique féminine de France », qui deviendra en 1952 la Grande loge maçonnique féminine de France. En 1959, cette Obédience abandonne le Rite d'adoption pour le Rite écossais ancien et accepté. En 1958, des Frères de la Grande loge maçonnique nationale française, en désaccord avec la non-reconnaissance des autres Obédiences françaises, fondent la « Grande loge maçonnique nationale française dite : Opéra » devenue depuis la Grande loge maçonnique traditionnelle et symbolique Opéra (GLTSO).
Orly est une commune française située dans le département du Val-de-Marne en région Île-de-France. Une partie de son territoire est occupée par l'aéroport d'Orly. Située en Hurepoix, à 9 km au sud de Paris, le territoire de la commune d’Orly s’étire perpendiculairement à la rive gauche de la Seine et s’étend à la fois sur la plaine alluviale à l’Est, le coteau du plateau de Longboyau et le plateau lui-même à l’Ouest : cette dernière partie est largement occupée par les terrains de l’aéroport. Orly compte de nombreux quartiers :
- Le vieil Orly, centre ancien de la ville
- Georges Méliès, quartier pavillonnaire
situé à l'ouest du centre ancien, entre celui-ci et l'aéroport.
- Cité Jardin, quartier pavillonnaire isolé à
l'extrême ouest de la commune, coincé entre l'aéroport au sud et la zone
d'activité de la Senia à l'est.
- La Senia, zone d'activité située au
nord-ouest de la commune.
- Les Chaudronniers, zone d'activité située
au sud-ouest de la commune, à proximité directe de l'aéroport.
- Le Clos Pantin, zone d'activité située à
l'ouest de la commune, à proximité directe de l'aéroport. Une partie de ce
quartier est à l'état de friche urbaine, en cours de renouvellement.
- Les Sentiers, quartier pavillonnaire situé
au nord du centre ancien et à l'ouest du quartier de Grignon.
- Grignon, quartier pavillonnaire situé au
nord de la commune, à l'ouest du quartier de la Pierre au Prêtre qui marque le
début du grand ensemble.
- Les Roses, quartier nouvellement renommé
par la municipalité d’Orly et qualifié de "friche urbaine" afin de
servir un projet d'urbanisation mais faisant partie du quartier grignon puisque
ce lieu est un bois naturel à la limite de la ville de Thiais, connu depuis
toujours par les riverains comme étant le bois Grignon. De nombreuses cartes ou
vues ariennes peuvent témoigner que cet espace est un bois et non pas une
friche.
- Le parc de la Cloche, quartier
pavillonnaire situé au sud du centre ancien et à proximité de la gare
Orly-Ville.
- Le Fer à Cheval, quartier à dominante
d'habitat collectif situé au sud de la commune. À l'ouest de ce quartier se
situe la gare Orly-Ville et à l'est se situe la gare Orly-les-Saules.
- Les Bas Clos, quartier pavillonnaire situé
à l'est du centre ancien.
- La Pierre au Prêtre, quartier faisant
partie du grand ensemble d'Orly. Ce quartier est à dominante d'habitat
collectif et est classé en ZFU. C'est une zone sensible du grand ensemble et
est actuellement en cours de rénovation. Il est situé au centre est de la
commune. Le quartier est partagé en plusieurs secteurs : Alfred de Musset,
Molière et le Noyer Grenot. La Pierre au Prêtre constitue un ensemble de 1 138
logements sociaux.
- Les Hautes Bornes, quartier faisant partie
du grand ensemble d'Orly. C'est un quartier à dominante d'habitat collectif et
est classé en ZFU. Il est situé au nord-est de la commune.
- Calmette, quartier faisant partie du grand
ensemble d'Orly. C'est un quartier à dominante d'habitat collectif et est
classé en ZFU. Il est situé à l'est de la commune.
- Les Tilleuls, quartier faisant partie du
grand ensemble d'Orly. C'est un quartier à dominante d'habitat collectif et est
classé en ZFU. Il est situé à l'est de la commune. Les Tilleuls forment une
petite cité de 309 logements sociaux.
Vue aérienne des quartiers est de la ville devant le Parc Intercommunal des Sports du Grand Godet. Les Aviateurs, quartier faisant partie du grand ensemble d'Orly. C'est un quartier à dominante d'habitat collectif et est classé en ZFU. C'est la zone la plus sensible du grand ensemble et est actuellement en cours de rénovation. Il est situé à l'est de la commune. Le quartier est partagé en plusieurs secteurs : Hélène Boucher, Saint-Exupéry et la Demi-Lune. Les Aviateurs constituent un ensemble de 1 564 logements sociaux.
Les Navigateurs, quartier faisant partie du grand ensemble d'Orly. C'est un quartier à dominante d'habitat collectif et est classé en ZFU. C'est une zone sensible du grand ensemble et est actuellement en cours de réhabilitation. Il est situé au nord-est de la commune et est partagé entre Choisy-le-Roi (Jacques Cartier) et Orly (Christophe Colomb). Les Navigateurs constituent un ensemble de 1 334 logements sociaux (environ 50 % sur Choisy-le-Roi et 50 % sur Orly).
Les Cosmonautes, zone d'activité située au nord-est de la commune, à proximité directe du grand ensemble. La Sablière, quartier faisant partie du grand ensemble d'Orly. C'est un quartier à dominante d'habitat collectif et est classé en ZFU. Il est situé à l'est de la commune, à proximité de la gare Orly-les Saules. La Sablière est une petite cité constituée de 209 logements sociaux. Les bords de Seine, quartier en friche urbaine situé à l'extrême est de la commune. Actuellement en cours de renouvellement.
L'aéroport, plateforme aéroportuaire, située à l'extrême ouest de la commune. Le nom d’Orly est rendu en latin par Aureliacus en 851, Aureliacum dans les documents des IXe et Xe siècles. On trouve aussi Orleium au XIe siècle5, Orliaco en 1201, époque à laquelle on écrit, désormais en ancien français non latinisé, Orli. Il dérive de façon tout à fait régulière du gallo-romain Aureliacum, « domaine d'Aurélius », de même qu'Orléans dérive du gentilé Aureliani. En Auvergne, le même toponyme gallo-romain Aureliacum a donné Aurillac. Le hameau de Grignon, aujourd’hui partagé entre Thiais et Orly, est cité sous la forme barbare Griniacus, Grisniacum à la fin du XIIe siècle. Grigon est un toponyme roman tardif, dont le radical Grigne, d’origine germanique, signifie une inégalité de terrain difficile à briser par la charrue, dans une terre forte. Au XVe siècle, on trouve la mention d’un lieu-dit Vaugriffier où des parcelles primitivement bâties avaient été mises en vigne. Au XIVe siècle, on y trouve Jean le Bouchier dit de Vaugriffier. Peut-être ce nom désignait-il Grignon.
1791 : les Orlysiens (au
nombre de 600) accueillent avec enthousiasme la nouvelle Constitution.
Seconde moitié du XIXe siècle : création de la ville moderne avec le bureau des postes et des télégraphes, les deux premières écoles de garçons et filles, l’écurie pour le cheval de la commune, la remise pour le tombereau et la pompe à incendie.
Un service de transports publics est organisé. La construction de la première mairie, place de l’église, est entreprise.
Entre 1910 et 1938 : édification de centaines de pavillons et accroissement de la population : 982 en 1896 et 4 000 habitants en 1940. Parallèlement, le plateau d’Orly devient champ d’aviation réservé dans un premier temps aux exploits pionniers, puis aéroport mondial en 1945.
Depuis 1935 : d’un point de vue politique, la municipalité, socialiste et communiste, restera d’union de gauche. Pendant la Seconde Guerre mondiale, de nombreux élus et responsables politiques locaux s’engageront dans la Résistance et seront victimes de la répression et de la déportation.
1956 : période de l’urbanisation sauvage : 24 000 nouveaux habitants s’installent en ville. Les champs de blé, de plantes médicinales et les vignes laissent ainsi place aux immeubles. Le petit village est devenu une véritable cité urbaine.
Période contemporaine : construction des équipements nécessaires pour « créer la ville » (collèges, écoles, gymnases, centres médicaux, centre culturel, centre équestre et implantation d’espaces verts protégés).
De nos jours : après l’installation de la nouvelle cité administrative et des nouveaux quartiers, la ville poursuit son développement avec pour perspective la reconquête des bords de Seine.
Site web http://www.ville-orly.fr
Gentilé Orlysiens
Population
municipale 22 377 hab. (2013)
Densité 3 345 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 44' 38? Nord, 2° 23' 34? Est
Altitude Min. 30 m – Max. 89 m
Superficie 6,69 km2