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Loges de Francs-maçons à Alfortville

Comment entrer dans une Loge de Francs-maçons à Alfortville


Interviewé par Jacques Carletto


Une heure d'interview Vérité


Direct du 23/09/2015. Studios de BTLV.
Invité : Franck Fouqueray. 


Alors qu'on dénombrait près de 1 000 loges maçonniques à la veille de la Révolution, 75 loges maçonniques seulement seront en mesure de reprendre leurs travaux en 1800. Cependant les loges maçonniques avaient, par leur fonctionnement dans les années antérieures, pris une certaine indépendance vis-à-vis de l'État et de l'Église, ce qui avait vraisemblablement contribué à l'éclosion d'aspirations nouvelles. Parmi les francs-maçons actifs de l'époque révolutionnaire, citons Mirabeau, Desmoulins, Couthon, La Fayette, La Rouërie, Choderlos de Laclos, David et Rouget de l'Isle, créateur de l'hymne national La Marseillaise.

Le XIXe siècle Tableau symbolique d'une loge maçonnique -Tableau de la loge maçonnique « Bonaparte », 1810. Le plébiscite du 6 novembre 1804 légitime l'Empire de Napoléon Ier. Dans les jours qui suivent, les francs-maçons français apprennent que son frère Joseph Bonaparte est nommé Grand Maître du Grand Orient de France, dont l'administration effective est confiée à Jean-Jacques-Régis de Cambacérès.  

Une légende affirme que Napoléon lui-même aurait été maçon. Pourtant les propos qu'il tient à Sainte-Hélène semblent prouver le contraire: « C'est un tas d'imbéciles qui s'assemblent pour faire bonne chère et exécuter quelques folies ridicules. Néanmoins, ils font de temps à autre quelques bonnes actions. » Pendant l'Empire, le Grand Orient de France, étroitement contrôlé par le pouvoir politique, réunit progressivement sous son égide la quasi-totalité de la franc-maçonnerie française qu'il développe de nouveau pour atteindre rapidement le nombre de 1200 loges maçonniques, dont de très nombreuses loges maçonniques militaires. Toutefois, en 1804, le comte Alexandre de Grasse-Tilly (1765-1845) venant des Antilles, rentre en France muni de pouvoirs émanant du Suprême Conseil de Charleston, fondé en 1802. Il établit alors un Suprême Conseil de France et contribue à la création d'une « Grande loge maçonnique générale écossaise de France », placée sous la protection de Kellerman. Le centralisme d'état exige alors la fusion de ces deux institutions et l'obtient pendant quelques années.

À la suite de la campagne d'Égypte de 1799, la société française se passionne pour l'histoire de ce pays. Vers 1810, le Rite de Misraïm et la

franc-maçonnerie

dite « égyptienne » apparaissent dans les milieux français installés en Italie. Ils s'installent en France en 1814. Dès le début de la Restauration, en 1814, le comte de Grasse-Tilly réveille le conflit qui ne cessera plus d'opposer jusqu’à la fin du siècle le Grand Orient de France, qui se veut le centre d'union de toute la

franc-maçonnerie

française et le Suprême Conseil de France, jaloux de l'indépendance du Rite écossais ancien et accepté. La fin de l'Empire entraîne un important affaiblissement de la

franc-maçonnerie

française qui avait été l'un de ses piliers24 et qui voit son nombre de

loges maçonniques

décroître jusqu’à 300 autour de l'année 1820. Pendant tout le XIXe siècle la

franc-maçonnerie

française se démocratise et se politise peu à peu : de nombreux

francs-maçons

sont parmi les révolutionnaires de 1830 et à l'exception de Lamartine et Ledru-Rollin, tous les membres du gouvernement provisoire de 1848 sont

francs-maçons

Alfortville est une commune française située à 3 km au sud-est de Paris (Porte de Bercy)1, dans le département du Val-de-Marne en région Île-de-France. Située au confluent de la Seine et de la Marne, Alfortville s’étire sur une longueur de 4,5 km pour une largeur qui varie de 0,5 km à 1 km. La commune est délimitée par la Marne au nord, qui la sépare de Charenton-le-Pont, la voie ferrée Paris-Lyon à l'est, qui la sépare de Maisons-Alfort, l’A86 au sud, qui la sépare de Choisy-le-Roi et Créteil et la Seine à l'ouest qui la sépare de Vitry-sur-Seine et Ivry-sur-Seine. L'ensemble du territoire constitue une plaine au relief plat et de faible altitude (de 27 à 37 m).

Alfortville est reliée à Ivry-sur-Seine et Maisons-Alfort par la D19 (ex N19), via le pont du port-à-l'anglais à Vitry-sur-Seine et Maisons-Alfort par la D148.

La ville est également reliée à Choisy-le-Roi par la D38 qui longe la Seine à partir du pont d'Ivry.

Alfortville est également reliée au réseau autoroutier :

  •     au nord, à l'A4 par la sortie sortie 3 à Charenton-le-Pont
  •     au sud, à l'A86, par les sorties sortie 23 à Créteil et sortie 24 à Vitry-sur-Seine

Maisons-Alfort, Alfortville étant un ancien quartier de cette commune. En se séparant de Maisons-Alfort, la commune d'Alfortville a été créée par la loi du 1er avril 1885 dont voici le texte intégral : 

  •     Art. 1er.- La section d'Alfortville est distraite de la commune de Maisons-Alfort, et formera à l'avenir une commune distincte, dont le chef-lieu est fixé au bourg d'Alfortville, qui en portera le nom. « La limite entre les deux communes est fixée dans toute son étendue, par l'axe actuel de la ligne du chemin de fer P.L.M. conformément au tracé en vert du plan annexé à la présente loi. « Les dispositions qui précédent recevront leur exécution sans préjudice des droits d'usage et autres, qui pourraient être respectivement acquis.
  •     Art. 2. La commune d'Alfortville paiera pendant dix années, à celle de Maisons-Alfort, une annuité de 1 477 francs et 50 centimes représentant le contingent mis à sa charge pour le rachat du pont d'Ivry.
  •     Art. 3. La bibliothèque de Maisons-Alfort restera la propriété de cette commune, qui paiera à celle d'Alfortville, à titre de compensation, une somme de 1 500 francs. « La commune d'Alfortville pourra faire inhumer ses morts dans le cimetière de Maisons-Alfort pendant une période de temps qui ne pourra excéder trois ans. « La part revenant aux indigents d'Alfortville, dans la rente sur l'État, de 955 francs, qui constitue l'actif du bureau de bienfaisance de Maisons-Alfort, est fixée à 426 francs de rentes.

La présente loi, délibérée et adoptée par le Sénat et la Chambre des députés, sera exécutée comme loi de l'État. À Paris, le 1er avril 1885. Le ministre de l'Intérieur : « Signé : Jules Grévy », « Signé : Waldeck-Rousseau». La ligne de chemin de fer Paris-Lyon marquait la frontière entre les deux nouvelles communes. Le 4 juin 1944, les quais de Seine sont bombardes par les Anglo-Américains. La commune était, jusqu'en 2015, membre de la communauté d'agglomération Plaine centrale du Val-de-Marne. 

Dans le cadre de la mise en œuvre de la volonté gouvernementale de favoriser le développement du centre de l'agglomération parisienne comme pôle mondial est créée, le 1er janvier 2016, la métropole du Grand Paris (MGP), dont la commune est membre. La Loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015 prévoit également la création de nouvelles structures administratives regroupant les communes membres de la métropole, constituées d'ensembles de plus de 300 000 habitants, et dotées de nombreuses compétences, les établissements publics territoriaux (EPT). La commune a donc également été intégrée le 1er janvier 2016 à l'Établissement public territorial Grand Paris Sud Est Avenir, qui succède notamment à la communauté d'agglomération Plaine centrale du Val-de-Marne. Alfortville appartient au syndicat Paris Métropole.

Alfortville a accueilli de nombreux survivants du génocide arménien, et compte encore actuellement une importante communauté arménienne. La journaliste Laurence Oiknine a décrit en 1995 le paysage de cette « petite Hayastan » (petite Arménie), située au sud de la ville, que l’on retrouve dans l’ornement monumental et symbolique de la commune : « L’église St Paul et St Pierre de la rue Komitas rattachée a l'école primaire bilingue "sourp mesrop machtots" et depuis peu, au nouveau collège Kevork H. Arabian. Le monument khatchkar (croix en pierre traditionnel arménienne), la place Achtarag, les façades des épiceries comme celle de "Hay Ararat", des restaurants comme "La Rogina" et des boutiques de tricots arborent des noms arméniens. 

L'Association de la Maison arménienne culturelle et artistique d'Alfortville, dite MCA, créée en 1970 a inauguré sa structure 9, rue de Madrid en octobre 1976 et a pour but de promouvoir et diffuser la culture en général et la culture arménienne en particulier. En septembre 2015, la municipalité a inauguré, place de l'Europe, un buste de Saint-Mesrop, saint patron de l'Arménie réputé être l'inventeur de son alphabet.

Monuments et lieux remarquables : 

  • Église Notre-Dame
  • Église Notre-Dame d'Alfortville.
  • Les grandes orgues de l'Église Notre-Dame sont inscrites à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques. Ce sont des orgues Cavaillé-Coll.
  • « Chinagora » : bâtiment de style chinois, depuis le pont d'Ivry.

 

  • Chinagora : Alfortville abrite le complexe touristique Chinagora, construit en 1992 au confluent de la Seine et de la Marne. On y trouve un hôtel 4 étoiles et un restaurant gastronomique. Chinagora était le point de départ de croisières sur la Seine entre Alfortville et l'Île aux Cygnes (Paris). De plus, durant l'opération Paris Plages, des navettes relient Chinagora et le pont Marie
  •  Pont du Port à l'Anglais : Ce pont suspendu à haubans, commencé en 1912, n'a été achevé qu'en 1928 à cause de la guerre. Il enjambe la Seine entre Alfortville et Vitry-sur-Seine
  •  Église arménienne apostolique Saint Paul et Saint Pierre : Située au sud de la ville, c'est un lieu important pour la communauté arménienne qui est très importante à Alfortville.

 

Site web              http://www.alfortville.fr

Gentilé                Alfortvillais

Population

municipale         44 818 hab. (2013)

Densité                12 212 hab./km2

Géographie

Coordonnées    48° 47' 51? Nord, 2° 25' 27? Est

Altitude               Min. 27 m – Max. 37 m

Superficie           3,67 km2