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Loges de Francs-maçons à Maisons-Alfort

Comment entrer dans une Loge de Francs-maçons à Maisons-Alfort


Interviewé par Jacques Carletto


Une heure d'interview Vérité


Direct du 23/09/2015. Studios de BTLV.
Invité : Franck Fouqueray. 


Dans les années 1740, naît en France, dans les milieux de la haute aristocratie, une forme originale et mixte de la franc-maçonnerie, sous le nom de « maçonnerie d'adoption », dont la Grande Maîtresse est la duchesse de Bourbon-Condé, sœur du duc de Chartres. En 1743, après le décès du duc d'Antin, c'est Louis de Bourbon-Condé (1709-1771), comte de Clermont, prince du sang et futur membre de l'Académie française qui lui succède en tant que « Grand Maître de toutes les loges maçonniques régulières de France ». Il le restera jusqu’à sa mort, en 1771.

Vers 1744 on compte déjà une vingtaine de loges maçonniques à Paris et autant en provinceN 6. Les loges maçonniques de province sont le plus souvent fondées par des maçons en déplacement pour leurs affaires, mais surtout par l'intermédiaire des loges maçonniques militaires, au fil des déplacements de leurs régiments : lorsqu'une loge maçonnique militaire quitte ses quartiers d'hiver, il n'est pas rare en effet qu'elle laisse dans son sillage l'embryon d'une nouvelle loge maçonnique civile. C'est de cette époque que datent les nombreuses expressions d'origine militaire encore en usage dans les banquets maçonniques modernes, telles que le célèbre « canon » désignant un verre, ou la « poudre forte » désignant le vin. portrait en couleur d'un aristocrate. Philippe d'Orléans en grand maître du Grand Orient de France 

En 1771, Louis Philippe d'Orléans (1747-1793) succède au comte de Clermont à la tête de la franc-maçonnerie française. Sous son autorité et avec le soutien des loges maçonniques de province contre l'hégémonie de celles de Paris, la Grande loge maçonnique de France est réorganisée et change de nom pour devenir en 1773 le Grand Orient de France, qui regroupe quelque 600 loges maçonniques. Seuls quelques « vénérables », principalement parisiens, refusant de ne plus être présidents à vie de leur loge maçonnique, résisteront à cette réforme en formant une « Grande loge maçonnique de Clermont » qui poursuivra son activité jusqu'en mai 1799. Après la Révolution française, le jésuite Augustin Barruel écrivit que les francs-maçons avaient activement préparé la révolution de 1789, ce qui accrédita parfois l'idée d'un complot maçonnique dans la révolution française. Cette thèse fut ensuite souvent reprise, notamment sous la Troisième République, par quelques auteurs catholiques qui y voyaient un argument anti-maçonnique et anti-républicain, ainsi que par différents francs-maçons qui y voyaient un argument de nature à renforcer leur image auprès du gouvernement.

Il y eut en réalité des

francs-maçons

dans tous les camps. Ainsi le Duc de Luxembourg, bras droit du

Grand Maître

et initiateur de la fondation du Grand Orient de France, émigre dès juillet 1789. Une

loge maçonnique

aristocratique comme « La Concorde », de Dijon se saborde dès août 1789. Le

Grand Maître

du Grand Orient lui-même, devenu « Philippe-Égalité » renie publiquement la maçonnerie en 1793, peu de temps avant de finir sur l'échafaud. Et si le Grand Orient proclame son attachement à la forme démocratique de gouvernement dès janvier 1789, il est contraint de cesser ses activités par la Terreur de 1793 à 1796.

Maisons-Alfort est une commune française du Val-de-Marne, en Île-de-France. Elle se situe dans la banlieue sud-est de Paris, à trois kilomètres de la capitale, sur la rive sud de la Marne. Son positionnement lui permet un accès rapide à plusieurs axes majeurs de communications franciliens que sont l'A4 au nord ou l'A86 au sud. Sa population actuelle en fait la cinquième ville la plus importante du département derrière Créteil, Vitry-sur-Seine, Champigny-sur-Marne et Saint-Maur-des-Fossés. Ses habitants sont appelés les Maisonnais. Autrefois plus étendue, elle perdit partie de son territoire quand la commune d'Alfortville fut créée en 1885. Maisons-Alfort est l'une des 47 communes du Val-de-Marne, dont le chef-lieu est Créteil.

Elle a la forme d'un triangle : 

  •    côté Ouest, elle est séparée d'Alfortville par la voie de chemin de fer du RER D ;
  •    côté Nord, elle est limitée par la Marne ;
  •    côté Sud-Est, elle est limitrophe à Créteil ;
  •     à 1,2 km au sud de sa pointe sud se trouve le Carrefour Pompadour, un nœud routier entre la route nationale 6, la route nationale 186, l'autoroute A86, la route départementale 60 (voie express dans la continuité de la route nationale 406)

Charentonneau semble être d'origine aussi ancienne que le village de Maisons. C'est parfois Charentonnellum, Carentoniolo, ou Charentonnet que l'on rencontre.

Il est vaguement question en 1240 et 1246 de Charentonnellum. En 1281, l'abbé de Saint-Maur était propriétaire du moulin de Charentonneau, auquel les hommes de Maisons étaient banniers2. Le 14 octobre 1377, le roi Charles V acheta à Nicolas Braque, son maître d’hôtel, « la maison qu'il avait à Charentonnel près du pont de Charenton, et ses dépendances » pour 3 200 livres d'or. Il la donna à Philippe de Mézières, chancelier de Chypre. Cette charte est datée de Beauté-sur-Marne, 1377. À cette époque, le pont de Charenton est parfois désigné sous le nom de pont de Charentonneau. En 1444, à Nicolas Duru, huissier au Parlement, achète le fief de Charentonneau avec mention d'un manoir près du pont. En 1641, M. de Falcony devient possesseur des domaines de Charentonneau, d'Alfort et de la ferme de Maison Ville. Par la suite, René Gaillard, propriétaire du château voisin, en fait l'acquisition en 1671. Le domaine est saisi et vendu comme bien national sous la Révolution et remanié à la fin du XVIIIe siècle. Il est acquis le 31 janvier 1808 par le baron Rodier Saliège et revendu à Charles-François Grimoult en 1832. Le domaine passe ensuite à ses descendants Delalain, Jouët et Jouët-Pastré puis partagé en lotissement à la fin du XIXe siècle. Le château est mentionné au XVIIe siècle sur une gravure d'Albert Flamen datée de 1646 et au XVIIIe siècle par Piganiol de la Force. Il fut détruit à la fin des années 1950 et il ne subsiste actuellement que deux murs de l'orangerie3. Le château, alors encore debout, et la cité de Château-Gaillard, alors en construction, furent en 1958, le cadre du tournage de quelques scènes au début du film Archimède le clochard, avec Jean Gabin. On aperçoit brièvement le château dans ce film. Le château de Reghat a été construit au XVIIIe siècle, c'est l'une des demeures les plus anciennes de Maisons-Alfort[réf. nécessaire]. Il a été utilisé comme rendez-vous de chasse de Louis XV et a servi de lieu de séjour pour la Marquise de Pompadour. Ses façades sur jardin et ses toitures sont inscrites depuis 1979 à l’inventaire supplémentaire des monuments historiques. À partir de 1872, il est devenu la propriété de la société de fabrique de levures fondée par le baron Max von Springer, devenue depuis Bio-Springer (groupe Lesaffre). Dans le cadre d'un mécénat de Bio-Springer, le château abrite depuis 2003 le Musée de Maisons-Alfort.

Organisation actuelle (en faisant le tour de la ville, dans le sens des aiguilles d'une montre, en partant du nord)

  •     Charentonneau : Ce quartier se situe entre la Marne et le centre actuel. Dans l'histoire de la ville, le domaine de Charentonneau est aussi ancien que le bourg historique. Le hameau de Charentonneau est connu depuis 1170 par une charte des archives de Saint Maur. À l'origine, il était composé d'un château et de toute l'infrastructure nécessaire (ferme, terres, etc.). Celui-ci sera détruit en 1950, seuls subsisteront deux murs de l'orangerie3. Dès la fin du XIXe siècle, le parc est découpé en lotissement et constituera par la suite une partie de la zone résidentielle du quartier de Charentonneau.
  •     Les Planètes : Ce quartier est situé dans la pointe nord-est de la commune, il est bordé au nord par la Marne et au sud par la ville de Créteil. Le nom de sept des rues de ce quartier évoque le système solaire (rues de Mercure, de Vénus, de la Lune, de Mars, du Soleil, d'Uranus et de Neptune).
  •     Les Juilliottes : À l'origine, c'était un quartier de la ville principalement composé de champignonnières, de terrains vagues et de carrières qui furent comblés afin d'y aménager, au début des années 1970, un ensemble immobilier composé de logements, de bureaux ainsi qu'un petit centre commercial.
  •     Hector Berlioz
  •     Liberté-Vert-de-Maisons : Avant d'être urbanisé, c'était un quartier maraîcher, des lotissements commencèrent à y être construits après la première guerre mondiale. En 2005, la friche correspondant à l'ancienne imprimerie Cino del Duca a été transformée en un parc de 2,5 hectares.
  •     Le centre ou le « Vieux Maison » : Quartier dans lequel se situe la mairie de style Louis XIII. Acquise par la commune en 1894, elle est inaugurée en 1896 et agrandie en 1965. Le vieux Maison est au centre du quartier industriel de la ville au début du XXe siècle.
  •     « Alfort » : Ce quartier doit son nom au château maintenant détruit. Celui-ci est séparé du quartier de Maison par le Fort de Charenton. Dans ce quartier, sur 12 hectares, est implantée l'École Vétérinaire fondée en 1765. Sur la paroisse d'Alfort, l'église Sainte-Agnès a été construite en 1933. Son clocher hexagonal, rappelant la forme d'une bouteille de Suze, culminant à 53 mètres, est orné d'une statue de sainte Agnès.

Ce n'est qu'à partir de 1880 que l'on construisit les premières maisons que l'on peut assimiler à nos lotissements actuels. Au milieu du XXe siècle, seuls ces deux derniers quartiers étaient urbanisés. Le reste du territoire de la commune était occupé par des terrains maraîchers. Lors des guerres de religion, en 1567, les calvinistes s'emparent du pont de Charenton. Point de passage stratégique, en 1590, une nouvelle bataille a lieu pour la possession de ce même pont ; Henri IV l'enlève aux soldats de la Ligue catholique pendant le siège de Paris. En raison du coût de la guerre, le roi décida de faire payer à nouveau, en 1652, le droit d'amortissement. Il y a lieu de remarquer que si, d’un côté ; les abbés de Saint-Maur contestaient aux habitants de Maisons la propriété complète des quelques champs dont ils jouissaient en commun, et leur réclamaient de ce fait un impôt sous forme de corvées, le roi reconnaissait leurs droits sur ces mêmes champs, afin de pouvoir à son tour exiger d'eux la taxe de mainmorte. aisons-Alfort sur la carte de Cassini.

En 1674, Maisons compte parmi les terres et seigneuries réunies en un duché de Saint-Cloud. En 1680, il est question depuis quelque temps de prés communs entre Maisons et Créteil. Ces prés faisaient partie de ceux concédés par les abbés aux habitants pour le pacage de leurs bestiaux. Ces terres avaient été surnommées Prés des pailles, parce que les habitants de Maisons qui fournissaient depuis longtemps les pailles et litières pour la grande écurie du roi, affectaient le revenu qu'elles produisaient à l'acquisition de cette paille quand elle n'avait pas pu y être récoltée ou qu'elle venait à manquer. C'est de l'une de ces livraisons qu'il s'agit, lorsqu'on parle de l'octroi de Paris. Cette paille était plus généralement livrée à Carrières-Charenton, dans les écuries royales au Séjour du roi. En échange de cette fourniture, depuis le roi Jean, en 1351, jusqu'à Louis XV, en 1717, il leur avait été octroyé dix-huit chartes comportant des privilèges dont on peut lire la dernière :

« Louis, par la grâce de Dieu, roi de France et de Navarre, à tous présents et à venir salut. Nos bien-aimés les habitants de Créteil, Maisons et villages qui en dépendant, nous ont fait remontrer qu'ils sont obligés de fournir à leurs dépens toutes les pailles et litières nécessaires pour les chevaux de notre grande écurie, et de les conduire en quelque lieu que notre dite écurie soit commandée… Pour les indemniser, il leur a été accordé l'exemption de tout port, péage, passage, barrage, travers pour eux leurs chevaux et voitures. »

On les exemptait également de fournir des chevaux ou voitures pour l’armée et l'artillerie, de loger des troupes, et de tout impôt et taxes diverses. Ce qui n'empêche pas qu'à diverses reprises il soit constaté des dépenses occasionnées par l'hébergement de troupes ou de leur passage.

Selon les dénombrements de l'élection de Paris de 1709, la commune abrite 95 feux, elle compte 450 habitants en 1726 et 92 feux en 1745. En 1766, Claude Bourgelat créé une école vétérinaire. Le 3 mars 1814, l'école d'Alfort fut transformée en un camp militaire par les jeunes élèves vétérinaires, après avoir fortifié le château et crénelé les murs de l’école et du parc. Soutenus par quelques troupes régulières et des canons, ils défendirent vaillamment le passage du pont de Charenton contre les Alliés. Par la Loi du 1er avril 1885, dont voici le texte intégral, la commune est amputée d'environ 40 % de son territoire avec la création de la commune d'Alfortville :

  •     Art. 1er.- La section d'Alfortville est distraite de la commune de Maisons-Alfort, et formera à l'avenir une commune distincte, dont le chef-lieu est fixé au bourg d'Alfortville, qui en portera le nom. « La limite entre les deux communes est fixée dans toute son étendue, par l'axe actuel de la ligne du chemin de fer P.L.M. conformément au tracé en vert du plan annexé à la présente loi. « Les dispositions qui précédent recevront leur exécution sans préjudice des droits d'usage et autres, qui pourraient être respectivement acquis.
  •     Art. 2. La commune d'Alfortville paiera pendant dix années, à celle de Maisons-Alfort, une annuité de 1 477 francs et 50 centimes représentant le contingent mis à sa charge pour le rachat du pont d'Ivry.
  •     Art. 3. La bibliothèque de Maisons-Alfort restera la propriété de cette commune, qui paiera à celle d'Alfortville, à titre de compensation, une somme de 1 500 francs. « La commune d'Alfortville pourra faire inhumer ses morts dans le cimetière de Maisons-Alfort pendant une période de temps qui ne pourra excéder trois ans. « La part revenant aux indigents d'Alfortville, dans la rente sur l'État, de 955 francs, qui constitue l'actif du bureau de bienfaisance de Maisons-Alfort, est fixée à 426 francs de rentes.

La présente loi, délibérée et adoptée par le Sénat et la Chambre des députés, sera exécutée comme loi de l’État. À Paris, le 1er avril 1885. Le ministre de l'Intérieur : « Signé : Jules Grévy », « Signé : Waldeck-Rousseau». La ligne de chemin de fer Paris-Lyon marquait la frontière entre les deux nouvelles communes. 

La crue de la Seine en 1910 (mois de janvier, Février) a touché presque entièrement13 inondé la commune d'Alfortville et une partie14 de la commune de Maisons-Alfort dans une zone délimitée par la voie ferrée à l'ouest et l'avenue du Général de Gaulle, la rue Victor Hugo, le rue Georges Médéric à l'est (Le rapport Picard - analyse de la crue de 191015 - Carte d'inondation des environs de Paris)

Le 27 juin 1988 en début de soirée se produisait un accident dans la gare de banlieue souterraine de Paris-Lyon faisant 56 morts et 57 blessés. Le train de banlieue à l'arrêt qui avait été percuté était un omnibus pour Melun (actuel RER D) desservant Maisons-Alfort. De ce fait de nombreuses victimes habitaient la ville, parmi lesquelles le conducteur du train. Cette tragédie causa une très grande émotion parmi les habitants de Maisons-Alfort.

 

Site web              http://www.maisons-alfort.fr

Gentilé                Maisonnais

Population

municipale         54 470 hab. (2013)

Densité                10 181 hab./km2

Géographie

Coordonnées    48° 48' 21? Nord, 2° 26' 16? Est

Altitude               Min. 24 m – Max. 47 m

Superficie           5,35 km2