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Loges de Francs-maçons à Charenton-le-Pont

Comment entrer dans une Loge de Francs-maçons à Charenton-le-Pont


Interviewé par Jacques Carletto


Une heure d'interview Vérité


Direct du 23/09/2015. Studios de BTLV.
Invité : Franck Fouqueray. 


La franc-maçonnerie française offre à l'historien de nombreux documents (manuscrits, diplômes, gravures, caricatures, articles de journaux, imprimés). Elle a produit également un grand nombre d'objets rituels (tabliers maçonniques, tableaux de loge maçonnique, vaisselle, médailles commémoratives, etc.), mais également de la vie courante (montres, pipes, tabatières, sujets en faïence) exposés au public dans plusieurs musées ou expositions permanentes. Mais les sources principales restent celles du manuscrit et en tout premier lieu le cabinet des manuscrits de la Bibliothèque nationale de France et celui de la Bibliothèque municipale de Lyon. En 2001, le gouvernement russe a par ailleurs restitué aux Obédiences françaises, qui les mettent à la disposition des historiens, la totalité des archives qui avaient été confisquées aux loges maçonniques pendant l'occupation allemande et qui étaient conservées à Moscou depuis la libération. Le XVIIIe siècle - carte d'implantation des loges maçonniques en France

Implantation des loges maçonniques en France en 1789 - D'après une tradition remontant à 1777, la première loge maçonnique maçonnique apparue en France aurait été fondée en 1688, au sein du régiment « Royal Irlandais » arrivé en France à la suite de l'exil de Jacques Stuart, sous le nom de « La Parfaite Égalité » de Saint-Germain-en-Laye. Les historiens estiment que la chose est très vraisemblable, notamment du fait de la présence sur place de très nombreux aristocrates écossais francs-maçons5, mais elle n'a jamais pu être totalement démontrée6. De même, la première loge maçonnique de source anglaise aurait été « l'Amitié et Fraternité» fondée en 1721 à Dunkerque.

La première loge maçonnique dont l'existence est historiquement bien documentée fut fondée par des Britanniques à Paris « vers l'année 1725 ». Elle se réunissait chez le traiteur anglais Barnabé Hute, rue des Boucheries, « à la manière des sociétés angloises », et regroupait principalement des Irlandais et des exilés stuartistes. C'est assez probablement cette même loge maçonnique qui recevra en 1732 des patentes officielles de la Grande loge maçonnique de Londres sous le nom de loge maçonnique « Saint ThomasN 3 no 1 », se réunissant à l'enseigne du « Louis d'Argent », toujours rue des Boucheries. En 1728, les francs-maçons français décident de reconnaître comme « Grand Maître des francs-maçons en France », Philippe, Duc de Wharton (1698-1731), qui séjourne à Paris et à Lyon de 1728 à 1729, et qui avait déjà été, en 1723, Grand Maître de la Grande loge maçonnique de Londres9. Les jacobites James Hector MacLean (1703-1750) qui proclame les Règlements généraux le 27 octobre 1735 (c'est dans ce texte que le terme « Grande loge maçonnique » apparaît) puis Charles Radclyffe (en), Duc de Derwentwater (1693-1746), lui succéderont. La nomination de Wharton, antérieure à la transformation de la « Grande loge maçonnique de Londres » en « Grande loge maçonnique d'Angleterre » en 1738, est considérée par une partie des historiens comme le point de départ d'une franc-maçonnerie française indépendante de celle de Grande-Bretagne.

Charenton-le-Pont est une commune du département du Val-de-Marne en région Île-de-France, en France. Charenton-le-Pont est située sur la rive droite de la Seine, juste avant son entrée dans Paris et à la confluence de la Seine et de la Marne. Elle est bordée au nord par le bois de Vincennes. La ville s’étend sur 1,85 km2 (une des plus petites communes du Val-de-Marne, seules cinq autres étant moins étendues) et est entièrement urbanisée (15 349 hab./km2, l’une des densités les plus élevées du département et parmi les plus hautes de la petite couronne parisienne). De par sa situation à proximité immédiate de Paris, Charenton bénéficie de plusieurs axes routiers majeurs, à savoir notamment le boulevard périphérique de Paris au nord de la commune et l'autoroute A4 le long de la Seine à l'ouest.

    Autoroute :

  •         sortie no 2 (sens Province-Paris uniquement) : dite de « Charenton », menant à Charenton-Centre et Charenton-Bercy ;
  •         sortie n°3 : Charenton-Gravelle.
  •         Boulevard périphérique :
  •         sortie, dite "Porte de Bercy" ;
  •         sortie no 47, dite "Porte de Charenton".

Bercy, Conflans, les Carrières, le Bourg-du-Pont et « le Plateau », emprise sur le bois de Vincennes. Conflans-l'Archevêque est un lieu-dit qui se trouve au confluent de la Seine et de la Marne. Les évêques — puis archevêques — de Paris y possédaient une propriété. Par la suite, un petit séminaire, pour le diocèse de Paris, s'y installa. Cet endroit vit la signature du traité de Conflans sous le règne de Louis XI. La commune est longée par une autoroute le long de la Seine et traversée de part en part par une tranchée contenant des voies de chemin de fer provenant de la gare de Lyon ainsi que, sur sa partie ouest, par la gare de triage des TGV de Bercy-Conflans. Elle a cependant réussi à conserver un centre architecturalement cohérent autour de sa mairie et de son église principale. Charenton-le-Pont est située sur la rive nord de la Marne à l’endroit où celle-ci rejoint la Seine juste avant son entrée dans Paris. Depuis 1975, l’accès à la Seine est restreint par la présence de l’autoroute A4 qui longe les quais de Seine et est large de 10 voies à cet endroit. La commune de Charenton-le-Pont est divisée en deux parties par la traversée de la ligne de Paris-Lyon à Marseille-Saint-Charles empruntée, entre autres, par le RER D. Plusieurs ponts permettent de relier ces deux parties de la ville. La ville s’est formée par la réunion de quatre bourgs et de quatre seigneuries et occupait à l’origine une superficie plus importante qu’à l’heure actuelle, puisqu'elle s’étendait jusqu’à Bercy jusqu’en 1791 et possédait une partie du bois de Vincennes (plaine de Bercy) jusqu’en 1929.

La ville doit son nom à la présence du pont de Charenton, mentionné dès le VIIe siècle et qui est certainement l'un des plus anciennement bâtis pour faciliter l'arrivage à Paris. Il a toujours été regardé comme la clef de Paris. Située à un emplacement stratégique (proximité de la capitale, existence d’un pont permettant de franchir le confluent de la Marne et de la Seine), la ville fut le théâtre de nombreux combats. En 865, les Vikings s'emparent du pont et le rompent. En juin 1358, le dauphin Charles s'en rend maître pour se diriger sur Paris occupée par les Anglais. Sous Charles VII, les Anglais, maîtres de Charenton, en sont chassés, le 11 janvier 1436, par le capitaine de Corbeil nommé Ferrière. En 1465, l'armée de la Ligue du Bien public l'attaque, et s'y porte pour protéger ses opérations contre Louis XI. Les calvinistes le prennent en 1567. Le 25 avril 1590, Henri IV l’enlève aux soldats de la ligue mais en septembre 1590, lors du siège de Paris, l’espagnol Alexandre Farnèse reprend la ville, ce qui permet de ravitailler la capitale assiégée par Henri IV au cours de la huitième guerre de religion. Après quelques hésitations, la ville est désignée pour abriter le temple protestant de Paris attribué par l’édit de Nantes. Lors du soulèvement protestant de 1621, les protestants y sont massacrés après l’échec de Luynes au siège de Montauban.

En 1631, se tient à Charenton un synode national de l’Église réformée de France pour discuter ses principes et sa discipline. Pendant les guerres de la minorité de Louis XIV, en 1649, les frondeurs y repoussent le prince de Condé qui le reprend la même année. Pris et repris plusieurs fois au cours des siècles, le pont de Charenton est rebâti plusieurs fois ; il l'est, entre autres, en 1714, et subit quelques réparations en 1812. De 1790 à 1795, Charenton, qui porte quelque temps le nom révolutionnaire de Le Républicain, est un canton du district de Bourg-de-l'Égalité (Bourg-la-Reine). Au mois de février 1814, les armées ennemies s'approchant de Paris, la défense du pont de Charenton est confiée aux élèves de l'école nationale vétérinaire d'Alfort. Le 30 mars, accablés par le nombre, ils sont obligés de céder à la force. Charenton-le-Pont est pris, et, le lendemain, les troupes wurtembergeoises et le corps autrichien du comte de Guilay campent à Charenton. En 1815, le pont est coupé pour arrêter la marche de l'ennemi. Il sera reconstruit de fond en comble. Depuis 1975, l’autoroute A4 emprunte le tracé du canal de Saint-Maurice comblé en 1952. Les communes de Charenton-le-Pont et de Saint-Maurice ont créé 2003 la communauté de communes de Charenton-le-Pont Saint-Maurice, qui ne comptait que ces deux villes.

Dans le cadre de la mise en œuvre de la volonté gouvernementale de favoriser le développement du centre de l'agglomération parisienne comme pôle mondial est créée, le 1er janvier 2016, la métropole du Grand Paris (MGP), dont la commune est membre. La loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015 prévoit également la création de nouvelles structures administratives regroupant les communes membres de la métropole, constituées d'ensembles de plus de 300 000 habitants, et dotées de nombreuses compétences, les établissements publics territoriaux (EPT). La commune a donc également été intégrée le 1er janvier 2016 à l'établissement public territorial Paris-Est-Marne et Bois, qui s'est substitué à l'ex-Communauté de communes de Charenton-le-Pont Saint-Maurice.

 

Site web              http://www.charenton.fr

Gentilé                Charentonnais

Population

municipale         30 408 hab. (2013)

Densité                16 437 hab./km2

Géographie

Coordonnées    48° 49' 17? Nord, 2° 24' 43? Est

Altitude               Min. 28 m – Max. 57 m

Superficie           1,85 km2